Partez
à deux
Même quand tout va bien
ou au pire des tempêtes, partez tous les deux, sans enfants, sans amis, seuls
pour retrouver tout simplement le
bonheur d’être vous deux. On se croit toujours plus fort qu’on ne l’est
réellement. N’attendez pas trop longtemps. Essayez de prévoir régulièrement ces
escapades dont votre mari a peut-être encore plus besoin que vous. Il aime que
vous soyez avec lui et pour lui. Vous ne pouvez pas être simplement la mère de
ses enfants même si ce rôle vous suffit.
C’est
malin : Si vos parents ne peuvent pas vous aider, mettez les amis dans le
coup… à charge de revanche, ils en ont autant besoin que vous !
Magique : Quand vous pensez
vacances à deux et si vous voulez emporter son adhésion, choisissez
judicieusement ce qui lui plait à lui. Préparez plusieurs scénarios et décidez
ensemble. De toute manière l’important pour vous c’est de les prendre ces
vacances, non ?
Partir à
deux n’est toujours pas facile, des obstacles peuvent se mettre en travers de
la route :
·
Matérielles : l’emploi du temps de votre
mari, et l’organisation avec les enfants…
·
Psychologiques : le quotidien peut faire
perdre l’habitude de se retrouver seuls tous les deux, cela peut être presque
angoissant : que va-ton se dire, que va-t-on faire, vais-je être à la
hauteur, et lui ?
Lorsqu’on
ne sait plus être face à face, il faut savoir qu’un nouvel apprivoisement est
nécessaire. Si vous sentez des tensions fortes dans votre couple, essayez de
partir au moins trois jours ; premièrement évacuer la fatigue et
l’organisation du voyage (1er jour). Il est fréquent que viennent
ensuite le silence et la dispute ou le contraire (2ème jour). Ce
n’est qu’après, lorsque tout a été dit, la détente et le repos procurés par ces
journées loin de tout permettent de profiter enfin de la magie de ces
« vacances ». Trouver des
solutions et repartir d’un bon pied ensemble devient alors une évidence.
C’est magique : Il peut
arriver que cela paraisse impossible à réaliser. Choisissez-bien LA chose qu’il aime et que vous pourrez
faire avec lui. Payez tout d’avance et offrez-lui au cours d’un repas, sur son
oreiller, que sais-je ? Tentez-le avec la qualité du projet, qu’il ne
puisse résister. Il faut « qu’il craque » ! Ce petit séjour vous reviendra de toute
manière moins cher que de laisser la situation pourrir.
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